03 June 2016

LES AVENTURES DE Rubedo MAGENTA:



                                          
  INTRODUCTION


                                                       

   


      LORSQUE TOUT LE MONDE COURT, 
                        NOUS ON SE COUVRE & RECOUVRE





                     Enfermé dans ces longs couloirs bordés de portes qui s'entrouvrent et se claquent périodiquement suivant un rythme très individuel du sommeil, les nommé "fous" de cette société ne sont d'autres qu'une crème de café sucré où la mousse qui s'émousse disparaît ou est remplacée peu à peu en surface de la tasse psychiatrique pour atteindre une morosité de normalité sous laquelle seul ceux qui sont contenu dedans peuvent être considérer comme tel grâce au psychiatre qui nomme l'élément de trouble par de beaux mots pouvant donner le statut de la folie chez les personne malades ou souffrantes de troubles psy. Des sorties évolutives donne au malade une idée de la période qu'il traverse, d'abord une demi-heure dans le parc respectant les limites de l'enceinte du bâtiment, puis trois fois une heure sur la journée, s'en suis une liberté d'aller et venue entre l'unité et l'extérieur et enfin ce qu'ils appellent des congés. Comme disait une amie de ma propre mère: ici il y a ceux qui marche et ceux qui sont assis. N'oublions pas ceux qui sont dans la stature horizontale. Moi, ma préferée c'est assis sur le lit les gambes croisée avec bien entendu une occupation qui diffère de certains autres. Je passe aussi mon temps perdu à dormir ou ce que j'appelle "m'engrossé de crasses nutritives" en dehors des heures de repas: gaufres au chocolat, cacao chaud, café au lait avec sucre, chips, barre de chocolat ou sandwich au poulet-curry pour sustenter aux faibles repas.
                                                                  


                                                          







   Le Vélo Jaune



                Je fumais à une des deux tables de la terrasse du jardin assez régulièrement pour me laisser le temps de repairer cette vieille bricole rouillée attachée avec une ficelle. J'adore le vélo; et celui-là pouvait me convenir, juste la roue arrière devait être changée, et aussi la chaine.  Une discussion avec une infirmière flamande à propos du vélo et de son appartenance (personne, un abandon) , puisque chaque jour elle accrochait sa bicyclette juste à côté de ce cadavre fereux, ce fût suffisant pour me convaincre. Alors au bout de quelques jours, je décide de le détacher pour le tester. Impossible de rouler; je l'apporte alors chez un amis qui travaille dans un magasin au centre ville, je le met dans le Bus jusqu'à destination. Mon amis s'en occupe en m'expliquant ce qui doit être fait comme réparation et me donne deux semaine pour qu'il soit sur roue.




   Il était d'abord rouille
Puis blanc
Et enfin Jaune

Un jour de bonheur chez ma mère, je décide de le peindre en Jaune d'or, sur la terrasse de l'atelier où je vivais en cette époque de transition.




UN CADRE




Je le cadenasse à la porte de halle, paresseux de faire encore une montée vers la porte de Namur.
Et le laisse une nuit avec ce cadenas pour moto acheté chez un vendeur indiens à Moolen: 7 euro.

Le lendemain, il avait disparu et ma tristesse se transforma en rage lorsque je le retrouve sur le parvis de St Gilles.

SANS CELLE


C SELLE OU CELLE OU SCELLE?




Enfin yen avait pas

Un cadre couché jaune et cadenas C

Rubedo s'enrragai un soir où grouillait le peuple aux alentours de la maison du peuple
sur un vélo en sautant dessus et le cassa



Menotté et enmené au comisariat où il fut mi en cellule au moins une bonne heure après une humiliation de la part des gens d'armes, Rubedo sorti et s'habilla sur le trottoire accompagné d'une caisse en carton avec ses affaires personnelle.


Avant l'arrestation, il avait jetté et cassé son portable au sol.
Aussi avait il jetter au pied du compagnon de la victime les seule pièce de monnaies qu'il lui restait en poche en disant:

Voilà ton vélo il est payé et réparé.





      La Police de Rubedo, si c'en est une avait retrouver la trace d'un vélo suspect en décomposition. Celui-ci est jaune sans immatriculation et avec deux sacoches pleines de cannabis venant du nord. 

                           - Merde, shit of big pig! My drug  is in danger.


                            - Don't worry be natural...

                            - OK smoker.....

      Rubedo roulait en fumant sur son vélo vers Antwerpen sur les petites routes, évitant les Nationales. Arrivé à Anvers, il se posa à une terrasse sur cette place à la fontaine si célèbre. Il commanda une Leffe brune avant de s'assoir au soleil. Il jeta un coup d'oeil à sa carte pour ainsi voir le parcour allant jusqu'à Bruxelles. Ses sacoche empestaient l'herbes pourpre de Hollande pourtant bien emballée. Il y avait aussi un double vinyle de Robert Nesta qu'il avait payé à bon prix chez un discaire de Roosendael.  Il buva sa Leffe Brune sans soucis et reprit la route vers Bruxelles. Sur ce plas pays qui est le siens, rien ne l'arrêta.







     Sur ses chemins de banlieue où il trouvait bonheur et resplendissante joie par la fumette, il en oublia qu'il était suivi par une police de caractère. Il roulait ainsi aussi vite que Chavanel et ne ratait en souvenir aucune étapes de son parcours. A la quatrième étape qui lui aurait valu un maillot rose, il rencontra Isa, cycliste par nature qui rentrait chaque dimanche par ces chemins vers Bruxelles. Il la doubla en lui faisant un (-Bonjour Mademoiselle), et elle le redoubla en disant: 
- Mr attendez vous roulez à plus de 20 km/h.....et c'est interdit sur cette route. Allons nous asseoir ou boire un verre, je connais un magnifique resto proche d'ici. 
- Bien Mademoiselle je vous suit, comment vous appelez-vous? 
- Isa, et toi?
- Rubedo.




       Aux lueurs d'un crépuscule 
Les deux cyclistes se parlaient
Avec une renoncule blanche
plongée dans un mini vase de cristal





- Vous êtes de la police Mademoiselle Isa?
- Et bien oui, mais ne vous faites pas de soucis je vous laisserez avec votre herbe de Hollande cela ne m'intêresse pas car moi-même étant fumeuse, je ramène aussi de la drogue. enfin cela m'arrive quelque fois de le faire pour des amis. Vous en avez pour combiens sans indiscretions?
- Près de 1000 euro.
-  Waw ça vous fait un beau pactole alors et vous allez la revendre?
- Bien-entendu j'ai ma liste d'acheteur potentiel à Bruxelles.
-Viens je vais te montrer quelque chose...


     Elle ouvri sa sacoche droite et en sorti un sac en plastique avec des champignons alucinogènes. Comprends-tu pourquoi je ne t'arrêterai pas. Bien sûr maintenant je comprends. Où habites-tu à Bruxelles? A Saint Josse ten Hode, dans une super collocation, d'ailleurs il nous manque un coloc ça te dirais d'habiter avec nous? L'ambiance est vraiment sympa nous sommes tous fumeur il y a un chat: Bulette et une peruche: Samantha. La chambre qui se libère dans un mois est pleins sud. Mais que fais-tu à part revendre de l'herbe? Je suis artiste. Je travailles à mon propre compte en sérigraphie et en gravure, tu sais j'ai eu l'occasion de créé des billets, mais mes projets n'ont pas été selectionnés. Ils les ont qualifié comme naïfs et sans assez de précisions. Je fais aussi de l'animation, du dessin d'animation en gravure et à l'ordi. Je me met en scène dans différent contexte. Ha! je suis curieuse de voir cela.
Daniel fait aussi de l'animation vous pourrez partager vos expériences, ou même travailler ensemble. Bha! tu sais je suis un grand solitaire question travail artistique, je veux toujours tout faire tout seul, enfin presque, c'est égoïste non? Un peu tu parles, va falloir t'apprendre le travail d'équipe. Ben, je veux bien. j'espère que je m'entendrai bien avec tes colocataire si je m'installe avec vous bien sûr. De toutes façon je dois partir dans deux mois de mon studio. Alors ça tombe bien, viens chez nous dans deux mois on te garde la chambre. Oui nous verrons...


     Ils devaient encore trouver un lieu pour passer la nuit. Dis-moi Rubedo, tu dors chez l'habitant ou tu préfères les kamping's? A la belle étoile ce soir regarde le ciel est totalement dégager. Si tu veux pourquoi pas. Ils se remirent sur leurs vélo à la recherche d'un endroit où dormir. La nuit passée je me la suis faites dans un champ de tournesol. Et bien là en voilà un, allez va-y!


 J'ai été déranger toute la nuit par deux moustiques, je préfère de l'herbe ou chez l'habitant. Là il y a une culture avec des vaches. Tu veux dormir dans la bouze de vache ou quoi? Non, non, allons voir chez ces paysans, tu veux? Ouais mais je suis alergique au foing. En plus je ronfle énormément et bouge toute la nuit. Parfois aussi mais c'est râre je suis somnembule. Alors pas une mensarde s'il te plait.

Pourquoi ne me dis-tu pas cela avant car la chambre en coloc est en mensarde, tu risquerais d'ouvrir le vélux et de marcher sur le toit? Merde alors oui ça m'est déjà arrivé. 


Tiens voilà un beau saûle-pleureur, on s'instale en dessous? C'est à dire que je ne supporte pas le bruit que font leurs feuilles au vent du matin.

-Bon ça va pas être simple avec toi Rubedo. 


      Ils passèrent leur nuit dans le jardin d'une fermière accueillante qui leur offrit un bon poulet rotis au pomme de terre rissolée. Ils dormirent ensemble dans la même tente de deux personnes. la nuit fut sèche et étoilée, un ciel dégagé pour le réveil-matin. Rubedo prépara un poritche de flocons d'avoine bien sucré. Et la fermière leur offrit un café bien corsé. Isa se leva en dernier et pri le café avec une ciguarette roulée au soleil matinal. Elle avait pri du temps avant de fermer l'oeil, de vraiment dormir profondément.

     Ils allaient parcourir encore 75 km pour arriver jusque Bruxelles
où chacun allaient reprendre leur cotidient. Isa avec ses traveaux d'architecture et Rubedo dans son atelier d'impression. Ils avaient chacun été heureux de se rencontrer par hasard sur ce parcours, avec chacun leur drogue dans les sacoches. Ils s'apréciaient mutuellement et se respectaient comme deux adultes.




     L'effet Champignon



     Suite à l'ingurgitation de quelques champignons très puissant d'Isa, Rubedo Magenta fut trans-formaté à la taille d'une petite souris grise. Cela lui est arrivé dans la salle à manger de son studio.
Sa voix n'était point pareille, elle vibrait d'un ton d'harmonica ou de trompette assourdie. Le plus fort est que la plupart de ses notions humaine avaient disparues, par exemple au niveau de la signification des objets: une chaise ou une table paraissait tel un monument devant ses forces de petit homme. Il trouva près du feu ouvert une boite d'allumette UNION MATCH qui faisait sa taille. Il décida d'en faire son refuge. Plus loin dans le salon, une épingle de sûreté lui donna une fameuse idée. Il enleva une longue partie de fil du tapis assez solide et se fabriqua un laçeau au bout duquel il accrocha minuçieusement l'épingle positionnée en forme de crochet ou harpont. Le but était de pouvoir monter su une chaise ou une table. L'affaire fonctionna peu à peu mais sans grande fortune. Rubedo apperçu une entrée au niveau d'une pleinte. un petit trou de souris sombre et sans porte. Il s'en approcha, regarda à l'intérieur, mais il n'i vit rien. il alla chercher une allumette dans la boite Union Match, essaya de l'allumée sans résultat. C'est alors qu'il se mi à l'intention de fabriquer un sièrge avec les moyen du bord. Il savait que dans le troisième tirroirs de sa console, il y avait des pastels à la cire. Un cordon du tapis en toile de jute servirait de mèche.  Il alla vers le tirroir avec son laçeau avec crampon, le jeta sur la poignée sans succès, au quatrième essai il réhussi. Il tira alors le tirroir de toutes ses force qui grinçait à force d'être ouvert. Le tira encore jusqu'à le faire tomber. Rubedo alla voir ce qu'il y avait dedans et en sorti une petite boite de pastel Disney à la cire. Il l'apporta près du feu ouvert où frissonaient encore quelques braise. Il l'alimenta de carton et de petites branches. Fallait-il encore une sorte de moule pour y fondre la cire des pastels et y mettre la mèche. Il trouva un petit tuilleau en plastic transparent qui ferait certe l'affaire ou encore une seringue vide qui faisait sa taille. Il se mi à fabriquer une torche avec une manche de chemise et une alumette, de l'essance d'un flacon d'eau de toilette trouvé dans la salle de bain à portée de main rangée sous l'évier.

     Toute ces chose l'avait fatigué,... il décida d'arpenter la table où il y avait des gallettes de céréales. Il arriva à la chaise et enfin sur la table rempli de sueur et épuisé. Il grignota quelques flocons laissé d'un petit déjeuner frugal. Et du pain sur lequel il aurait aimer mettre du miel. Mais comment faire pour ouvrir un pot de miel; le fromage fut ouvert et à disposition, il en prit alors une grosse bouchée. Redescendit en rappel vers la chaise puis le plancher avec sa ficelle agrippée au coin de la table.

        Rubedo alluma sa torche avec la braise restante du feu ouvert. Il se dirigea vers l'ouverture de la plainte derrière laquelle dormait un monde inconnu.Il en avait pour à peu près trois quart d'heure de lumière avec sa torche. En marchant vers l'entrée de souris, il se rendit compte du danger. Celui de mettre le feu à la maison. Mais la suite lui serra de surprise. Il arriva à l'entrée du mur avec succès et décida de rentrer. Les murs étaient peints en or et de la mozaïque de verre brillait à la lueur de sa tarche. Une ésitation le fit surprendre à la direction à prendre: Droite ou Gauche. En face de lui; il y avait une représentation de la Vierge Noire en pâte de verre. Resplendissante et les yeux fillant vers sa gauche (la droite de Rubedo. C'est la direction qu'il décida de prendre comme si lui-même l'avait vraiment choisie, c'est possible. Il marcha d'un pas lent, écoutant tous les bruits que sa marche le fit donner. Il n'osa à peine regarder au sol tel le décor le rendit ébahit, abbasourdi  par la grandeeur qui fut de taille à une telle existance. Des sons apparaîssaient de toutes les directions; des voix incontrolable lui parlaient, et il ne savait quoi leur répondre.

                                                 - Viens vers moi je serai ta lumière.




     Un escalier magnifique se dressait devant lui.



                                                  - Prend-moi je te guiderai.


       Rubedo Magenta se laissa guider sans question, il pri alors cet escalier avec volupté et il se senti diriger comme dans la coupole de la Basilique Saint-Pierre. Il s'arrêta sur une ouverture sur la gauche.



                                                 -Viens-donc, si tu veux me prendre?
             




           Il s'arrêta net et se demanda où cette voix voulait le mener. Il se demandait où pouvait-elle bien le guider et c'est alors que la porte vers la gauche s'ouvrit sur un vide de couleur bleu-clair. Il continua vite dans les escalier où la perspective se perdait sans points d'horizon. Une vitre donnait sur la droite. il y vit une sphère décorée de bleu avec des motifs en cercle.


                                                       

                                                                                


        Il resta devant cette mozaïque quelques minute dans un grand silence et avec un respect du travail qu'elle pouvait donner. Rubedo aurait aimer comprendre ces formes et leur représentation, il y vit des fleurs ou des bourgeons, comme l'annonce d'un printemps. A la lueur de sa torche la vitre donnant le reflet l'empècha de voir vraiment le travail executé. Il se releva et continua son chemin dans les escaliers de ce palais rempli d'intrigues et de merveilles.
       

       

                                                      
       Il se sentait en Italie dans un domaine inconnu et cela faisait trente minute. La torche éclairait encore un peu: à quelque cinq mettre de distance. Il décida alors de faire demi-tours, descendit les marche à tout allure où il faillit bien se manger une de celle-ci à une autre hauteur.

          Le chemin du retour s'effectua dans une pénombre qui fit remarquer des difficulptés à avancer. Un brin de lumière se fit voir à l'entrée de souris mais toujours aucune vie remarquer ni à l'intérieur des murs ni dans le reste de la maison. C'est alors que rentra Isa par la porte d'entrée principale? Rubedo avait beau crier qu'il ne se fit pas entendre. Il trouva alors sur la table un gros morceau de fleur de cannabis qu'il mangea. Il doubla de volume. Sa taille n'était plus dix cm mais vingt cm, sa voix avait plus de portée dans la pièce. Il cria: -ISA! et elle se retourna. Rubedo, où es-tu je ne te vois pas. Je suis là sur la table. Isa se rapprocha de la table ronde et le pri dans sa main. J'ai découvert un monde parallèle dans les mur de la maison. Les champignons que tu as rapporté fond rappetisir et le cannabis fait grandir c'est ma conclusion. D'accord et maintenant tu veux quelle taille? Je veux te montrer le fabuleux monde qu'il y a dans ce mur; il le montra du doigt. Donc tu veux que je prenne des champignons pour avoir ta taille? Oui prends-en une bonne dose histoire d'avoir la taille d'une souris. Les champignon était là sur la table à côté du cannabis. Ne t'inquiète pas l'effet du cannabis fait grandir. Donne-moi un champy et prend-en quatre pour que tu ai ma taille. Tu es certains de la dose, ou c'est aproximatif? C'est à peu près ce que j'ai pri, aller tu va voir c'est incroyable ce monde est magnifique. Isa ingurgita les champy et réduit de taille, elle faisait cinq centimètre de haut. Fume un petit joint lui conseilla Rubedo tu dois prendre cinq centimètre. Elle fuma et se retrouva à dix centimètre. Voilà, prends une torche et des bougies que j'ai faite et allons dans le mur. Elle le suivi et il entrèrent par le trou de souris. Ce qui est étrange c'est que tout avait changé. Les mur du couloir n'étaient plus d'or mais tout entièrement noir et blanc avec un perspective impossible. Vers où veux-tu aller Isa, normalement là-bas il y a une escalier. Et vers la gauche? Je ne sais pas je n'ai pas été. Allons par-là. A gauche........!?8?


                                                     

       



       Isa & Rubedo entrèrent dans la perspective invalide. Des tourbillons mes amis je vous dis, un tourbillon vers la droite, ça veut dire quoi pur toi cela Isa. J'ignore complètement en tous cas je me demande ce qu'il y a au-dessus de nous. Nous allons devoir marcher sur les murs sauf si le point d'attraction change en même temps. Et tu crois qu'on pourrait trouver Eischer à force de marcher ici dedans? 


              - Et, Isa; je test la baraque pour voir si elle craque ou pas?
                     - Quoi t'as pris de quoi Fumz avec toi en plus?
              - Ben ouais c'est fête aujourd'hui, on a préparé des Space-                                                                                                   Cake.
              - Et c'est la fête de quoi ou de qui?

                   - De tout ceux qui aiment Bob et fument: le premier juin, on fume UN JOINT. Le 2/6 on en fume deux et ainsi de suite.

                - Et nous somme le ?
             - Le Premier et j'ai déja fumé mais comme j'aime cela je vais prendre un space-cake.
      
                - Ne fais pas cela tu va devenir minuscule.
                - Mais je t'offre la moitier du cake.



               - Attend, je vais réflaichir, car nous n'avons pas de champy pour rapetissir; et puis quel interrêt de grandir en mangeant? Il faud moderer l'aspect magique de ce phénomène. Et tu compte faire comment.

                        - J'ai tout prévu, j'e t'ai pris 6 champy dans ton sac.
                        - Tu as osé faire cela.
                        - Ben oui, ça te dérange?







F2IN
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La naissance de Rubedo


      Certains courants disent que Rubedo est né d'un chou rouge et que l'on en déduit ainsi sa couleur rouge, façon simple de le nommer alors de ce beau nom de famille. D'autres croient en un phénomène assez incroyable de la nature: l'alchimie (que je n'ai pas encore saisi jusqu'ici). Bon, pour ceux-là, ceux-ci devrai-je dire n'ont pas peur; ils, et j'en pleure sachez-le, sont prêt à creuser au pied d'une pyramide pour y retrouver l'homme.
        Mais rien n'a de telles tailles qu'un chou rouge pour naître, rien de plus symbolique et éphémère ou direct par sa vérité si bien faussée. Bref, ce n'est même pas un rose ou un violet ou mauve mais bien un rouge primaire.
        Patienter, attendre; à faire quoi franchement: à ne pas dormir ou à profiter de la nuit pour faire: 




Dou-é je dirais même
Fumer et boire du café froid
Et ces pies qui n'arrêtent pas 




- On m'a découvert sur une pierre et pas dans une bouteille
- T'es au téléphone ou quoi?
- Quoi c'est vrai non!?
   La pierre de Briquetton m'a-t-on dit même.
   Mais; ne montrez pas mon visage, je ne suis pas un indien.
   Je suis la naissance de la plus belle alchimie. (rire)
   Quoi mais non, ça c'est vrai je peux vous le prouver même                                                                                                            encore.
   J'ai le code barre des années nonante sur la peau.



       Le profiteur de Vermillon, quel salopard; il a piquer toutes mes idées sauf une. Et laquelle...     
                                                             ...la première bien entendu:


celle de se mélanger par la légèreté avec une tranchette de citroën.



 

 

 


 -Ajji Entha, vois-en les si dJamil mélanges.





            - T'es sur scène ou quoi?













-Mais qui a créé le Noire & Blanc?



-Très bonne question, car nous sommes la en couleur...?



-Couleurs formelles je dirais.



-TeTcheux-dit; toi t'inventes une correct réponse.

 C'est presque ça!

-Mais non monsieur c'est Paul ou l'autre , non pardon je ne sais pas qui les a trouvées, c'est vrai.
-Ce sont les couleurs lumières.
-Ouais des deux frères, je savais.






Et dire que je ne fais même pas honneur à ce beau pleureur en face de ma chambre;
Même un satellite en serais désorienté.
Facil, facil, TROP Facile



Mais il l'a fait
Lui qui n'y croyait qu'à mouat hier
Allez,...fais-toi ton nouveau Style
Ou fonce dans ce nouveau panneau

L. a peté les plomb's
Ya plu d'cables



       Et avec ses shoose espagnole, Rubedo fût très vite mi za l'heure de ce qu'il ou ïl a pu faire de bon à terre et non-pas sur l'eau corailleuse du souffle de ses encètres multicolares.
       
            Chocolat noir ou brun pour Rubedo. C'est Êffi-casse lorsqu'il est en phase de déprime; ça le rend plus vivant et moins indifférent. Ensuite il fume une roulée d'un tabac d'appellation protégée ou d'origine contrôlée

           Les diableries de Tabulla commençaient à ronger le Bedo de la Rue qui devenait euphorique avec la musique jusqu'au moment où la musique s'arrêta  net, et qu'il se retrouvèrent à deux assis dans ce quatre mettre cube. Elle en pourpre et lui en short. Va fumer pour comprendre! Fumer quoi?
Ben ta Salvia enfin....

             Sorti de l'hosto en matinée humide, Rubedo offra une guarow à un autre fou inconnu: indien ou africain. Ce dernier prit le 93 et Rubedo attendit le tram suivant. Sur ce long trajet du 51, Rubedoobservait tout de l'autre côté de la grande vitre. Il y avait peu de passagers : (d'origine blacky-beurs). 
         Chacun des passagers prennent une place des plus confort, en direction du trajet. 
           A la station où Rubedo descend le tram se vide assez bien puis il repart vers la gare du Midi en direction Sud ver Groden Woody.



              Arrivé à destination, il se pose dans un parc juste en-dessous d'un arbre, à l'ombre.Son ventre grossit le temps qu'il reste là à se reposer. Une fois éveillé, il ne sais plus, n'arrive pas à bouger. Couché sur le dos la difficulté de mouvance le tire vers le bas. C'est alors qu'il pleure toutes les larmes de son coeur, de son corps et vide son bac, son énorme sac de réflexions négatives dans l'herbe; pour les trèfles au sol. Une petite vois en sourdine lui souffle alors ceci:


      -Fumes-en une.
     Là dans ta poche droite, sort ta boite et allumes-en une dernière.

            Celle du condamné qui pour deux ans ne peux pas déconner. Il doit bien se comporter, avec gentillesse, amabilité, droiture, normalité et avoir l'allure d'un homme qui donne bonne impression.

 Mais Rubedo ne changera jamais son état d'être (lui-même) et de le rester.
       

Extrait digeste matinal

             07:34, Bleu est le CO2 disparu dans l'air du fumoir Taguer. {:-)
Je ralume la roulée à la tige de Sauge, aspire le fond du "Happy Drink" (jlib) deux étoiles de pourcentage valeur nutritionnelle de référance et deux autre étoiles de pourcentage idem pour les flamands et les flamandes. 0,2l d'énergie. Petite bottle bleu jetée dans le cendrier en sablier de fer que je vais vider dans la poubelle.


   (-:{§ (-:{§ (-:{§ (-:{§(-:{§ (-:{§ (-:{§ (-:{§(-:{§ (-:{§ (-:{§ (-:{§)



- J'ai des nausée...
- Habon! C'est dégoutant.
- J'ai des nausée, qu'elle répète d'une tonalité lasse et sans convictions
- Des nausée-abondent???


       Blasée fit la moue fade du déplaisir 
Ne dire rien, ne pas tenter
Répugner par la haine

               





        "Pôle de Regge dominant qui s'annule pour le creux, accompagné d'un fond continu".

Tel est la définition qu'a défini Rubedo pour le Reagge. Et ce n'est qu'en étant seul qu'il peu se souvenir de cela avec la toute grande grâce des chanteurs de toute les époques traversées par une ou plusieurs générations de chanteurs.

       Il est compliqué de définir une musique avec une répétition d'accords continu, sec et aigu. Que jamais un seul musicien n'a su définir totalement ni un bon annaliste de cette musique ne saurait vraiment s'engager à voir ou écouter tout d'une traite de plusieurs artiste sans faire des différence de style. 



Rock Steady, Roots, Dub, Raggamufin...


Rubedo en joue certain de manière libre et unique comme personne avec une dexterité à l'unanime des plus fort et des plus équilibré par rapport aux autres musiciens de son époque qui pratiquent en concert et en studio les mêmes sonorités de toutes parts et de toutes différences de manière à travailler les mouvements courts et longs en répetitions.


       
       Bercé dans une jarre
à travers l'eau pourprée d'une mer de sel,
Rubedo se ballance entre deux chaines
Deux pôle: l'un aigu et l'autre grâve.

Cela lui donne une chance en mer
et de la couleur en son ciel
avec beaucoup de pureté et de force en le coeur
Pour affronter l'avenir


                                                

  

à poursuivre

Ma Garrow With Sylfine - Syldjo Brass